"Aujourd'hui, il ne s'agit pas de "conserver" le présent ou de revenir à un passé récent qui a échoué, mais plutôt de reprendre possession de nos racines les plus archaïques, c'est-à-dire celles les plus adaptées à la vie victorieuse."
Guillaume Faye
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𝐄𝐍 ✦ | La douleur a-t-elle un sens ?

La douleur est notre premier contact avec le monde, c'est pourquoi elle occupe une place essentielle dans les réflexions de l’humanité depuis ses débuts. Homère disait déjà : « Vivre dans la douleur, et puis mourir, telle est la destinée préparée par les dieux aux humains. » Et la souffrance concentra l'attention de grands esprits depuis lors, comme les stoïciens et les épicuriens, Schopenhauer de Nietzsche, ou encore Cioran et Jünger par exemple.

Or, dans cette vidéo, nous nous intéresserons à l'une des plus grandes œuvres d'Antoine Blanc de Saint-Bonnet, La douleur, un livre « qui devrait être la colonne de tous ceux qui souffrent et qui ont besoin de s'appuyer sur quelque chose », d'après Barbey d’Aurevilly. Alors que la douleur apparaît de plus en plus comme insensée dans une société qui promeut le plaisir au rang de valeur incontestable, Blanc de Saint-Bonnet essaie justement ici de dégager un sens à celle-ci.

https://www.youtube.com/watch?v=l1rAhXvt2yI

"L'injustice ne réside jamais dans des droits inégaux, elle réside dans la revendication de droits 'égaux'."

— Nietzsche

"Les masses n'ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des preuves qui ne leur plaisent pas, préférant diviniser l'erreur si celle-ci les séduit. Quiconque peut leur fournir des illusions devient facilement leur maître ; quiconque tente de détruire leurs illusions en devient toujours la victime. Un individu dans une foule est un grain de sable parmi d'autres grains de sable, que le vent soulève à volonté."

— Gustave Le Bon

30 juillet 1998, mort de Maurice Bardèche.
Maurice Bardèche (1907-1998): «Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l'homme et de la création. Je crois à l'inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l'hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d'autres hiérarchies que celle de l'argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c'est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré.» 
L'histoire de Bardèche, c'est d'abord l'histoire d'une extraordinaire amitié, d'une amitié littéraire et politique, d'une amitié d'hommes, aussi. Robert Brasillach a littéralement illuminé la jeunesse de Bardèche. Dans la seconde partie de sa vie, Bardèche a en quelque sorte essayé de payer sa dette. Son oeuvre de mémoire et de réhabilitation, c'est la poursuite de cette amitié, d'un dialogue par-delà la mort.

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Entretien avec Guillaume Faye à propos de son livre "La colonisation de l'Europe". Guillaume Faye dénonce ce qu'il considère comme les méfaits de l'immigration de provenance extra-européenne en général et musulmane en particulier, vers l'Europe, qui les conduisent selon lui à abdiquer l'identité. (12.05.2003)

"Dans la fourmilière, personne n'a d'honneur. Il n'y a que des règles de fonctionnement. Plus la morale est l'affaire de tous, plus les lois se multiplient. Je dirais que le nombre de lois est inversement proportionnel au sentiment d'honneur de ceux qui les subissent."

— Jean Cau

"Une foule pense en images, et l'image elle-même appelle une série d'autres images, n'ayant aucun lien logique avec la première. Une foule distingue à peine entre le subjectif et l'objectif. Elle accepte comme réelles les images invoquées dans son esprit, bien qu'elles aient le plus souvent seulement une relation très éloignée avec les faits observés. Les foules, n'étant capables de penser qu'en images, ne peuvent être impressionnées que par des images."

— Gustave Le Bon, Psychologie des foules