🟠 Péril rouge.

https://www.lefigaro.fr/vox/histoire/un-siecle-apres-la-mort-de-lenine-le-bilan-du-communisme-pese-toujours-sur-la-conscience-du-monde-20240119

« Sois dur, pur et sûr. En d'autres termes : Inaltérable.
Ce serait l'idéal des forts, ceux que personne n'abat, rien ne corrompt, rien ne fait changer, de ceux dont on peut espérer l'union avec l'éternel, car leur vie est ordre et fidélité. »

— Savitri Devi.

« La vision projective d’une planète “multiculturelle” est un rêve de Disneyland, un errement irénique. L’avenir appartient aux peuples, pas aux tribus. Le XXIe siècle sera un siècle d’affrontement ethnique global, et les légions immigrées en Europe pourront fort bien être les “cinquièmes colonnes” d’un Sud agressif. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme. Techno-science et retour aux valeurs ancestrales (1998)

Le vrai problème avec les démocraties, c'est qu'à long terme, un gouvernement
démocratique élit son propre peuple.
Une façon d'élire un nouveau peuple est de l'importer, bien sûr. Par exemple,
pour le dire crûment, le Parti démocrate a conquis la Californie, autrefois un
bastion républicain, en important des nombres arbitraires de Mexicains.

En effet, le Tiers Monde regorge littéralement de milliards de démocrates potentiels, attendant de venir en Amérique pour que Washington achète leurs voix. Les fonctionnaires du Parti intérieur ricanent joyeusement de cette réalisation.

Mais cet acte de brutalité politique machiavélique, lardé comme d'habitude des platitudes les plus mielleuses, est insignifiant par rapport à la pratique ordinaire des gouvernements démocratiques : élire un nouveau peuple en rééduquant les enfants de l'ancien. À long terme, le pouvoir dans une démocratie appartient à
ses organes d'information : la presse, les écoles, et surtout les universités, qui
forgent les pensées que les autres plantent. Par simplicité, nous avons appelé ce complexe la Cathédrale.

Curtis Yarvin

« La Révolution française semble admirable à ceux qui la connaissent mal, terrible à ceux qui la connaissent mieux, grotesque à ceux qui la connaissent bien. »

– Nicolás Gómez Dávila

"Ce que fait la littérature [métaphysique] est la même chose qu'une allumette au milieu d'un champ en pleine nuit. Une allumette n'éclaire presque rien, mais elle nous permet de voir combien d'obscurité il y a autour d'elle."

— William Faulkner.

Concernant le besoin de prier, l'anarque ne diffère en rien de tout autre. Mais il n'aime pas s'attacher. Il ne dilapide pas ses meilleures énergies. Il n'accepte aucun substitut à son or. Il connaît sa liberté, et aussi ce qu'elle vaut. L'équation s'équilibre lorsqu'on lui offre quelque chose de crédible. Le résultat est UN.

Il ne fait aucun doute que des dieux sont apparus, non seulement dans les temps anciens mais même tard dans l'histoire ; ils ont festoyé avec nous et combattu à nos côtés. Mais à quoi sert la splendeur des banquets passés pour un homme affamé ? À quoi sert le tintement de l'or qu'un pauvre entend à travers le mur du temps ? Les dieux doivent être appelés.

L'anarque laisse tout cela être ; il peut attendre son heure. Il a son ethos, mais pas de morale. Il reconnaît la légitimité, mais pas la loi ; il méprise les règles. Chaque fois que l'ethos se transforme en impératifs, il est déjà corrompu. Néanmoins, il peut s'harmoniser avec eux, selon l'endroit et les circonstances, brièvement ou longuement, tout comme je m'harmonise ici avec le tyran aussi longtemps que cela me plaît.

– Ernst Jünger, Eumeswil

« La philosophie nous enseigne à agir, non à parler ; elle exige de chaque homme qu'il vive selon ses propres principes, que sa vie ne soit pas en désaccord avec ses paroles, et de plus, que sa vie intérieure soit d'une seule teinte et en harmonie avec toutes ses activités. »

- Lucius Annaeus Sénèque

La haute montagne :

« Les deux grands pôles de la vie à l'état pur, l'action et la contemplation, s'y confondent.
L'action, c'est la responsabilité absolue, le fait de se sentir absolument seul, de ne pouvoir compter que sur sa force et son courage, joints à une maîtrise de soi lucide et chirurgicale.
La contemplation, c'est l'essence même de cette expérience héroïque : le regard devient circulaire et solaire, il n'y a plus
que le ciel et des forces pures et libres qui reflètent et figent l'immensité dans le chœur titanique des sommets. »

Julius Evola « Méditations du haut des cimes »

Gaston Rébuffat photographié sur l’aiguille du Roc par George Tairraz

« Ce serait une stupidité de croire qu'un peuple sans défense n'aurait que des amis, et il serait bas et malhonnête de compter que l'ennemi se laisserait peut-être attendrir par la non-résistance. Qu'un peuple n'ait plus la force ou la volonté de se maintenir dans la sphère du politique, ce n'est pas la fin du politique dans le monde. C'est seulement la fin d'un peuple faible. »

Carl Schmitt, La Notion de politique

Les excuses rendent aujourd'hui facile, mais demain difficile.

La discipline rend aujourd'hui difficile, mais demain facile.

"Le réveil de l'homme est l'éveil de sa volonté."

— Julius Evola

La ministre de l'Intérieur de la République fédérale allemande, Nancy Faeser, vient d'interdire la revue Compact-Magazin. Les locaux du journal et le domicile des rédacteurs ont été perquisitionnés par les unités d'intervention de la police, tout le matériel a été saisi, toutes les activités ont été gelées. Nous sommes, en ce qui nous concerne, bien loin de la ligne de cette revue, qui affichait une poutinolâtrie bornée et un pro-sionisme hystérique, qui avalisait la plupart des diktats idéologiques et historiographiques de la gauche, et qui, surtout, usait de la reductio ad hitlerum à tort et à travers (elle avait qualifié de « Nazi » des politiciens du SPD, Angela Merkel et même ... Hillary Clinton!). Pourtant, le ministère de l'Intérieur a affirmé que « ce magazine incite d'une manière indescriptible à la haine contre les Juifs, les personnes d'origine immigrée et notre ordre constitutionnel libéral-démocratique (freiheitlich-demokratische Grundordnung) ». Le seul tort de Compact, selon les dogmes du Système, est en réalité sa position critique face à l'invasion migratoire et à ses conséquences sociales. Cette interdiction d'une revue plus que « modérée » en dit long sur l'emprise de la Police de la Pensée actuelle. En outre, elle nous prouve, une fois de plus, que toutes les manœuvres de « dédiabolisation », c'est-à-dire de soumission partielle au Système, sont des impasses qui n'arrêteront jamais les chiens de garde.

Aujourd'hui, il ne s'agit pas de "conserver" le présent ou de revenir à un passé récent qui a échoué, mais plutôt de reprendre possession de nos racines les plus archaïques, c'est-à-dire celles les plus adaptées à la vie victorieuse.

– Guillaume Faye

🔴 Réédition : Face au bolchevisme – Christophe Dolbeau

Petit dictionnaire des résistances nationales à l’est de l’Europe, 1917-1989. À l’Est de l’Europe et durant plus de sept décennies (1917-1990), des centaines de milliers d’hommes et de femmes ont lutté, souvent les armes à la main, contre la révolution bolchevique, l’impérialisme soviétique et la tyrannie communiste.

➡ https://jeune-nation.com/lectures/reedition-face-au-bolchevisme-christophe-dolbeau

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« Tout ce qui a fait la grandeur des civilisations : sciences, arts, philosophies, religions, puissance militaire, etc., a été l'œuvre des individus et non des collectivités. C'est par les individus d'élite, rares et suprêmes fruits de quelques races supérieures, que se sont réalisés les découvertes et les progrès les plus importants, dont l'humanité entière profite. Les peuples chez lesquels l'individualisme est le plus développé, sont par ce fait seul à la tête de la civilisation et dominent aujourd'hui le monde. »

🖋Gustave Le Bon, Psychologie du socialisme

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« Notre courant de pensée a toujours été déchiré et affaibli par une fracture artificielle qui opposerait les « traditionalistes » à ceux qui seraient « tournés vers l’avenir ». L’archéofuturisme peut réconcilier ces deux familles par un dépassement dialectique. »

« La querelle entre « traditionalistes » et « modernistes » est devenue stérile. Il ne faut être ni l’un ni l’autre, mais archéofuturiste. » Telle est l’alternative proposée par Guillaume Faye dans cet ouvrage novateur. Dans la droite lignée de Nietzsche et de Giorgio Locchi, ses deux principaux inspirateurs, Guillaume Faye propose ici une nouvelle stratégie pour « l’Interrègne », cette période de transition entre la fin d’un monde et la naissance d’un nouveau. Car si nous sommes à la minuit du monde, selon le mot de Hölderlin, il faudra que le matin nous appartienne quand le soleil se lèvera. À cette fin, l’auteur nous propose de nombreux concepts révolutionnaires et subversifs dans le but d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de construire une vision du monde capable de faire face à la convergence des catastrophes qui frappe aujourd’hui le monde européen. Les valeurs égalitaristes sanctifiées par la modernité perdent pied, mais encore faut-il être capable de proposer de nouvelles valeurs pour les dépasser.

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