Les amis de Sparta
623 subscribers
703 photos
74 videos
63 files
786 links
Canal des lecteurs et amis de la revue Sparta.
Download Telegram
Forwarded from Lacagoule85
🌅 Fiume o morte🏴‍☠️

A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…

« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »

Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
9
Forwarded from MEMORIA NATIO
« Aussi loin que l'on regarde dans l'histoire des cités, des royaumes et des nations d'Europe, l'esprit militaire, dans sa structure masculine, en a été le cœur vivant, étroitement associé à la souveraineté. »

📖 Le cœur rebelle, Dominique Venner, 1994.

🕊️ @MemoriaNatio
🕊️
@MemoriaNatio2
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
🔥75👍3
Forwarded from IdeoChoc 📚
🎙 NOUVEAU | Révolte contre le monde moderne par Julius Evola

« Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de “convives de pierre” sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, et permet de constituer un pôle qui, s’il n’empêche certes pas ce monde d’égarés d’être ce qu’il est, transmettra pourtant à quelques-uns la sensation de la vérité, sensation qui sera peut-être aussi le début de quelque crise libératrice. »

📚 Chaque semaine — 1 livre résumé en 25 minutes au format podcast et fiche de lecture

IDEOCHOC
⚡️
Abonnez-vous dès maintenant !
❤‍🔥4👍4
Forwarded from Ego Non
𝐄𝐍 ✦ | Bien que l’architecture théorique et intellectuelle du Capital de Marx soit impressionnante, elle n’a pas convaincu tout le monde dès sa parution, bien au contraire. Le livre a suscité d’importantes réserves voire des critiques féroces. Et l’une des plus ravageuses fut certainement celle de l’Autrichien Eugen von Böhm-Bawerk.

Böhm-Bawerk est une des grandes figures de ce qu'on appelle l'école autrichienne d'économie. Professeur à l'université de Vienne, avec des élèves aussi brillants que J. Schumpeter ou L. von Mises, il sera aussi ministre des Finances de l'Empire pendant plusieurs années. Mais en ces années d'ascension du marxisme, à la fin du XIXe siècle, il se livra à un examen critique radical des contradictions du système de Marx, montrant par-là que sa pensée économique était viciée dès le début par de fausses prémisses.

𝐄𝐍 ✦ | Retrouvez cette vidéo en exclusivité sur mon espaceEgo-Non.com
❤‍🔥3🔥2👌1
Forwarded from Europa Diffusion
« La guerre de 1914 fut l’évènement fondateur du XXème siècle. Après avoir tué plus de neuf millions d’hommes, cette guerre liquida les trois empires et les aristocraties qui charpentaient l’Europe. De ce séisme, tout le reste a procédé : de terribles colères et d’immenses espoirs, la montée des utopies révolutionnaires et l’avènement de régimes nouveaux, puis une Seconde Guerre Mondiale plus destructrice encore que la Première. Elle engendra le déclin de l’Europe, la décolonisation, la destruction de la sociabilité européenne, l’américanisation des mœurs, l’immigration et le terrorisme. »
Dominique Venner - le siècle de 1914.
📚👉🏻https://europa-diffusion.com/fr/1ere-guerre-mondiale/1363-le-siecle-de-1914.html
👍112
Forwarded from Europa Diffusion
Tous les livres de Julius Evola sont sur www.europa-diffusion.com
5
Forwarded from MEMORIA NATIO
J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme,
La rage et la pitié se disputent mon âme ;
Dois-je par un effort, que je crois surhumain
À qui veut la couper tendre ma ferme main ?
Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge,
Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ?
Je songe à lui parler, mais que peut ma raison
Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ?
C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie,
Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ;
Rien ne semble imposer à mon esprit fervent,
De quoi bien réprimer son mécontentement.
Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque
Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ?
Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier,
Peut-il à qui le veut gentiment se donner ?
Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! »,
Peut-on à son pays faire plus grande injure ?
Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang,
Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang,
Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières
Engendre à ce dément d'innombrables misères,
Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi,
Au revers du bon sens le fait demeurer coi.
Néanmoins, non content de sa froideur funeste,
Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ;
Voyant certains Français ne voulant point mourir,
Il voudrait empêcher ceux-là de discourir.
Se croyant défenseur de la liberté reine,
Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ».
Faut-il donc être haineux pour préférer les siens,
Vouloir les épargner de macabres desseins ?
Faut-il donc être fou pour aimer sa famille,
Du regard de ses sœurs conserver la pupille ?
C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect
Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject.
La charité chez lui est tout sauf ordonnée
Et ne se voit jamais au Bien subordonnée,
Préférant mille fois un continent lointain,
— « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » —
Il s'agite toujours pour défendre « le monde »,
Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde,
Pire que de se taire il œuvre à ses côtés
L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités.
Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge,
La rue est clairsemée, il n'a point de refuge,
Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront,
Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront !
Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre !
Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ?
Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement
Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ?
À moins que consciemment, la Beauté il refuse,
Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse
Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ;
Se sentira-t-il mieux si tout est avili ?
Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne,
Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne :
La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ?
Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !

~ Alexandre Charpentier

✍🏻 @vers_les_etoiles
🕊️ @MemoriaNatio
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
🔥5
Forwarded from Megamachina ⚙️
Mémoire de José Antonio Primo de Rivera, exécuté par la république espagnole le 20 novembre 1936 dans les geôles d’Alicante.
🔥2
Forwarded from MEMORIA NATIO
🇪🇸 Le 20 novembre 1936, assassinat de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole.

« Plaise à Dieu que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles. Plaise à Dieu que le peuple espagnol, si riche en qualités dignes d’être aimées, trouve dans la paix, la Patrie, le Pain et la Justice ( ... ). Que notre Seigneur accepte ma mort en sacrifice pour compenser en partie ce qu’il y a eu d’égoïsme et de vain dans ma vie.

Je pardonne de toute mon âme à tous ceux qui ont pu me faire du tort ou m’offenser, sans aucune exception ( ... ) et je prie que tous ceux auxquels je dois la réparation d’un dommage, grand ou petit, me pardonnent.

Je veux être enterré conformément au rite de la religion Catholique, Apostolique et Romaine, que je pratique, en terre bénite et sous la protection de la Croix.
»

📜 Testament, 18 novembre 1936.

🕊️ @MemoriaNatio
🕊
@MemoriaNatio2
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
❤‍🔥2
Forwarded from MEMORIA NATIO
« Nous sommes anticapitalistes et antimarxistes avant tout parce que nous ne comprenons pas cet "homme économique" qui n’existe pas. L’homme est un corps, mais aussi une âme, et s’il est vrai que l’homme est l’élément principal de l’économie, il faut le considérer dans son aspect spirituel plus que matériel. »

🗣️ José Antonio Primo de Rivera.

🕊️ @MemoriaNatio
🕊️
@MemoriaNatio2
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
❤‍🔥101
Ursula Haverbeck, infatigable combattante, s'est éteinte aujourd'hui à l'âge de 96 ans. RIP.
🔥143❤‍🔥3🫡3
Forwarded from Le Cercle d'Ulfric
Ne regrettez pas cette époque, c’est unique ce que nous vivons, c’est très rare.

Les fins de cycle comme ça, où absolument tout est remis en question, où le sens véritable de la vie se perd, où plus rien ne semble avoir de sens, c'est une opportunité incroyable pour s’élever par soi-même.

Faites-en l’expérience, et ne vous laissez pas entraîner par des discours dépressifs.
Faites usage de ce que vous savez, entreprenez des projets, vivez la vie pleinement. Soyez dans le mouvement et l’action.

Rappelez-vous que vous n’êtes pas sur cette Terre par hasard, et affrontez vos propres démons.

La vie ne vous reprochera jamais d’avoir traversé des vallées et des montagnes si c’est pour vous rapprocher de vous-même.
👍12❤‍🔥41
Forwarded from 🌲Oxyde de Solidum🌲⚡️🐻
« La liberté est un idéal, mais dans la perspective indiquée par cette formule de Goethe : 'Tout ce qui libère notre esprit sans nous élever à une plus grande maîtrise de nous-mêmes, nous corrompt».

- Julius Evola
🔥2
Je m'interroge depuis déjà quelques temps sur ce qui a pu pousser autant de personnes de la droite radicale, notamment française, francophone, à se fourvoyer durant plusieurs décennies dans la croyance selon laquelle l'espoir est rouge bolchevique et se trouve à l'Est.

Le phénomène prédate très largement l'avènement du tsaroïde nain poutine et du conservatisme / nationalisme d'apparence qu'il a institué, il date de bien plus longtemps, dès les années 50 même on en a trouvé les premières itérations.

Quelles sont les racines de cette folie ?

Je n'ai pas de réponse exhaustive et encore moins définitive, mais des éléments de réponse que je me permets de partager publiquement.

Le polymorphisme de cette folie me laisse à penser qu'elle prend ses sources au delà de l'idéologie ou de la doctrine pures, que le problème est en amont.

La moscophilie /soviétophilie prend ses racines dans la croyance de vaincu qu'il est impossible de nous en sortir nous-mêmes et qu'il faudrait toujours attendre que la libération vienne d'ailleurs, après que le fascisme, au sens large, fut vaincu, au lieu de remettre en question ce principe, les réprouvés se sont cherchés un nouveau sauveur. L'Amérique ? Tout de même pas, on ne la connaît que trop bien, on connaît trop bien ses problèmes, dans le fond similaires aux nôtres, son fonctionnement, ses forces et faiblesses. Aucune mythologie américaine n'a pu se forger sérieusement et durablement parce qu'elle revêtait bien peu de mystère. De l'autre côté du rideau de fer, par contre, il en est autrement, tout au long du siècle il est devenu habituel de fantasmer sur un Orient secret mythifié, la fascination rouge n'en est que la continuité politique, l'existence de l'esthétique soviétique rappelant un peu celle surhumaniste, l'anti-démocratisme et les pseudo opinions "basées" de staline ont fait le reste.

Tout le monde s'est donc convaincu que sous le rouge, il y avait du brun, que le soviétisme n'était qu'une maladie de surface qui cachait un pays aryen, sain et vivant, la recherche d'un sauveur, le rideau de fer informationnel et la méconnaissance du régime dans sa nature même ont accouché d'une illusion qu'aujourd'hui on ne peut trouver que ridicule, maintenant que le secret sur le soviétisme est levé et qu'il n'y a plus la surcouche rouge pour masquer le reste.

On a découvert que sous le rouge il n'y avait pas de brun, que la faucille et le marteau ne cachent pas de swastika, que ce qui se trouvait derrière était en réalité le cadavre mutant et dégénéré du tsarisme, décomposé par la brutalité perpétuelle bolchevique des commissaires et l'élément racial turco-mongol.

Les vieux du "milieu" n'aimant pas avoir tort et encore moins remettre en question leurs acquis, ont prétendu voir en le corps pourri d'une babouchka celui de la belle au bois dormant, montant en épingle les grossiers mensonges du kremlin et ignorant toute information contradictoire, conduisant ainsi tout le milieu à sa perte, en l'offrant en pâture à ses pires ennemis.

On dit que l'herbe paraît toujours plus verte de l'autre côté de la clôture. Avant d'aller y paître, il eut mieux valu vérifier que sous l'herbe verte et luxuriante ne se cache pas un marécage immonde dont on ne ressort pas si l'on s'y englue.

👉 @AlbaKultura
14👍4🫡1
Forwarded from Europa Diffusion
Qui accuse les autres, les ennemis, l’air du temps de ses échecs, ne mérite pas de vaincre. Car il est dans l’ordre des choses que l’ennemi vous opprime et que les circonstances soient hostiles.

Guillaume Faye - L’Archéofuturisme.
📚👉🏻https://europa-diffusion.com/fr/essais/2023-l-archeofuturisme.html
🔥2
Forwarded from MEMORIA NATIO
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
🫡3🔥2
Forwarded from MEMORIA NATIO
« Nous sommes pour un style de vie qu'aucun parti ne peut nous offrir, mais qui découle d'un ordre d'idées, d'une unité différenciée de revendications et d'une camaraderie dans la lutte contre le système. Nous sommes pour une aristocratie qui représente un rejet radical du modèle égalitaire. Nous assumons une perspective hiérarchique et organique. [...] Nous sommes pour les civilisations européennes, avec leurs Mythes et leurs Traditions. »

📖 Manifeste, Franco Freda, 1963.

🕊️ @MemoriaNatio
🕊️
@MemoriaNatio2
Please open Telegram to view this post
VIEW IN TELEGRAM
👍6🔥2🫡2