Les amis de Sparta pinned «L'entretien tant attendu de Philippe Baillet par Ego Non : https://www.youtube.com/watch?v=6vH48dwYZTc»
Forwarded from MEMORIA NATIO
🇬🇷 Le 1er novembre 2013, Giorgos et Manos, deux jeunes nationalistes grecs, furent abattus par des terroristes antifas.
Alexandros, un troisième nationaliste, avait été grièvement blessé lors d’une attaque ; il n’avait rouvert les yeux qu’onze jours plus tard, après avoir subi de multiples opérations. À ce jour, les antifas ayant ouvert le feu depuis leur moto, n’ont pas été tenus pour responsables. Bien qu’ils aient revendiqué l’attaque dans un communiqué, les autorités ont décidé d’abandonner les enquêtes en cours.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊️ @MemoriaNatio2
Alexandros, un troisième nationaliste, avait été grièvement blessé lors d’une attaque ; il n’avait rouvert les yeux qu’onze jours plus tard, après avoir subi de multiples opérations. À ce jour, les antifas ayant ouvert le feu depuis leur moto, n’ont pas été tenus pour responsables. Bien qu’ils aient revendiqué l’attaque dans un communiqué, les autorités ont décidé d’abandonner les enquêtes en cours.
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Forwarded from Zentropa
Ephéméride, 7 novembre 1949, naissance de l'essayiste français Guillaume Faye. Figure majeure du GRECE et collaborateur d’Éléments des années 70 jusqu’à 1987, il publia son maitre ouvrage Le système à tuer les peuples et créa les notions d'ethnomasochisme et d'archéofuturisme.
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Forwarded from Lacagoule85
🌅 Fiume o morte🏴☠️
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
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Forwarded from MEMORIA NATIO
« Aussi loin que l'on regarde dans l'histoire des cités, des royaumes et des nations d'Europe, l'esprit militaire, dans sa structure masculine, en a été le cœur vivant, étroitement associé à la souveraineté. »
📖 Le cœur rebelle, Dominique Venner, 1994.
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📖 Le cœur rebelle, Dominique Venner, 1994.
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Forwarded from IdeoChoc 📚
🎙 NOUVEAU | Révolte contre le monde moderne par Julius Evola
« Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de “convives de pierre” sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, et permet de constituer un pôle qui, s’il n’empêche certes pas ce monde d’égarés d’être ce qu’il est, transmettra pourtant à quelques-uns la sensation de la vérité, sensation qui sera peut-être aussi le début de quelque crise libératrice. »
📚 Chaque semaine — 1 livre résumé en 25 minutes au format podcast et fiche de lecture
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« Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de “convives de pierre” sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, et permet de constituer un pôle qui, s’il n’empêche certes pas ce monde d’égarés d’être ce qu’il est, transmettra pourtant à quelques-uns la sensation de la vérité, sensation qui sera peut-être aussi le début de quelque crise libératrice. »
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Forwarded from Ego Non
𝐄𝐍 ✦ | Bien que l’architecture théorique et intellectuelle du Capital de Marx soit impressionnante, elle n’a pas convaincu tout le monde dès sa parution, bien au contraire. Le livre a suscité d’importantes réserves voire des critiques féroces. Et l’une des plus ravageuses fut certainement celle de l’Autrichien Eugen von Böhm-Bawerk.
Böhm-Bawerk est une des grandes figures de ce qu'on appelle l'école autrichienne d'économie. Professeur à l'université de Vienne, avec des élèves aussi brillants que J. Schumpeter ou L. von Mises, il sera aussi ministre des Finances de l'Empire pendant plusieurs années. Mais en ces années d'ascension du marxisme, à la fin du XIXe siècle, il se livra à un examen critique radical des contradictions du système de Marx, montrant par-là que sa pensée économique était viciée dès le début par de fausses prémisses.
𝐄𝐍 ✦ | Retrouvez cette vidéo en exclusivité sur mon espace — Ego-Non.com
Böhm-Bawerk est une des grandes figures de ce qu'on appelle l'école autrichienne d'économie. Professeur à l'université de Vienne, avec des élèves aussi brillants que J. Schumpeter ou L. von Mises, il sera aussi ministre des Finances de l'Empire pendant plusieurs années. Mais en ces années d'ascension du marxisme, à la fin du XIXe siècle, il se livra à un examen critique radical des contradictions du système de Marx, montrant par-là que sa pensée économique était viciée dès le début par de fausses prémisses.
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Forwarded from Europa Diffusion
« La guerre de 1914 fut l’évènement fondateur du XXème siècle. Après avoir tué plus de neuf millions d’hommes, cette guerre liquida les trois empires et les aristocraties qui charpentaient l’Europe. De ce séisme, tout le reste a procédé : de terribles colères et d’immenses espoirs, la montée des utopies révolutionnaires et l’avènement de régimes nouveaux, puis une Seconde Guerre Mondiale plus destructrice encore que la Première. Elle engendra le déclin de l’Europe, la décolonisation, la destruction de la sociabilité européenne, l’américanisation des mœurs, l’immigration et le terrorisme. »
Dominique Venner - le siècle de 1914.
📚👉🏻https://europa-diffusion.com/fr/1ere-guerre-mondiale/1363-le-siecle-de-1914.html
Dominique Venner - le siècle de 1914.
📚👉🏻https://europa-diffusion.com/fr/1ere-guerre-mondiale/1363-le-siecle-de-1914.html
Europa Diffusion
Le siècle de 1914
de Dominique Venner - 408 pages
👍11❤2
Forwarded from Europa Diffusion
Tous les livres de Julius Evola sont sur www.europa-diffusion.com
❤5
Forwarded from MEMORIA NATIO
J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme,
La rage et la pitié se disputent mon âme ;
Dois-je par un effort, que je crois surhumain
À qui veut la couper tendre ma ferme main ?
Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge,
Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ?
Je songe à lui parler, mais que peut ma raison
Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ?
C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie,
Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ;
Rien ne semble imposer à mon esprit fervent,
De quoi bien réprimer son mécontentement.
Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque
Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ?
Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier,
Peut-il à qui le veut gentiment se donner ?
Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! »,
Peut-on à son pays faire plus grande injure ?
Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang,
Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang,
Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières
Engendre à ce dément d'innombrables misères,
Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi,
Au revers du bon sens le fait demeurer coi.
Néanmoins, non content de sa froideur funeste,
Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ;
Voyant certains Français ne voulant point mourir,
Il voudrait empêcher ceux-là de discourir.
Se croyant défenseur de la liberté reine,
Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ».
Faut-il donc être haineux pour préférer les siens,
Vouloir les épargner de macabres desseins ?
Faut-il donc être fou pour aimer sa famille,
Du regard de ses sœurs conserver la pupille ?
C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect
Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject.
La charité chez lui est tout sauf ordonnée
Et ne se voit jamais au Bien subordonnée,
Préférant mille fois un continent lointain,
— « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » —
Il s'agite toujours pour défendre « le monde »,
Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde,
Pire que de se taire il œuvre à ses côtés
L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités.
Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge,
La rue est clairsemée, il n'a point de refuge,
Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront,
Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront !
Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre !
Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ?
Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement
Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ?
À moins que consciemment, la Beauté il refuse,
Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse
Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ;
Se sentira-t-il mieux si tout est avili ?
Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne,
Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne :
La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ?
Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !
~ Alexandre Charpentier
✍🏻 @vers_les_etoiles
🕊️ @MemoriaNatio
La rage et la pitié se disputent mon âme ;
Dois-je par un effort, que je crois surhumain
À qui veut la couper tendre ma ferme main ?
Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge,
Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ?
Je songe à lui parler, mais que peut ma raison
Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ?
C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie,
Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ;
Rien ne semble imposer à mon esprit fervent,
De quoi bien réprimer son mécontentement.
Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque
Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ?
Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier,
Peut-il à qui le veut gentiment se donner ?
Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! »,
Peut-on à son pays faire plus grande injure ?
Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang,
Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang,
Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières
Engendre à ce dément d'innombrables misères,
Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi,
Au revers du bon sens le fait demeurer coi.
Néanmoins, non content de sa froideur funeste,
Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ;
Voyant certains Français ne voulant point mourir,
Il voudrait empêcher ceux-là de discourir.
Se croyant défenseur de la liberté reine,
Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ».
Faut-il donc être haineux pour préférer les siens,
Vouloir les épargner de macabres desseins ?
Faut-il donc être fou pour aimer sa famille,
Du regard de ses sœurs conserver la pupille ?
C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect
Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject.
La charité chez lui est tout sauf ordonnée
Et ne se voit jamais au Bien subordonnée,
Préférant mille fois un continent lointain,
— « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » —
Il s'agite toujours pour défendre « le monde »,
Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde,
Pire que de se taire il œuvre à ses côtés
L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités.
Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge,
La rue est clairsemée, il n'a point de refuge,
Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront,
Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront !
Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre !
Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ?
Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement
Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ?
À moins que consciemment, la Beauté il refuse,
Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse
Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ;
Se sentira-t-il mieux si tout est avili ?
Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne,
Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne :
La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ?
Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !
~ Alexandre Charpentier
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Forwarded from Megamachina ⚙️
Mémoire de José Antonio Primo de Rivera, exécuté par la république espagnole le 20 novembre 1936 dans les geôles d’Alicante.
🔥2
Forwarded from MEMORIA NATIO
🇪🇸 Le 20 novembre 1936, assassinat de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole.
« Plaise à Dieu que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles. Plaise à Dieu que le peuple espagnol, si riche en qualités dignes d’être aimées, trouve dans la paix, la Patrie, le Pain et la Justice ( ... ). Que notre Seigneur accepte ma mort en sacrifice pour compenser en partie ce qu’il y a eu d’égoïsme et de vain dans ma vie.
Je pardonne de toute mon âme à tous ceux qui ont pu me faire du tort ou m’offenser, sans aucune exception ( ... ) et je prie que tous ceux auxquels je dois la réparation d’un dommage, grand ou petit, me pardonnent.
Je veux être enterré conformément au rite de la religion Catholique, Apostolique et Romaine, que je pratique, en terre bénite et sous la protection de la Croix. »
📜 Testament, 18 novembre 1936.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊 @MemoriaNatio2
« Plaise à Dieu que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles. Plaise à Dieu que le peuple espagnol, si riche en qualités dignes d’être aimées, trouve dans la paix, la Patrie, le Pain et la Justice ( ... ). Que notre Seigneur accepte ma mort en sacrifice pour compenser en partie ce qu’il y a eu d’égoïsme et de vain dans ma vie.
Je pardonne de toute mon âme à tous ceux qui ont pu me faire du tort ou m’offenser, sans aucune exception ( ... ) et je prie que tous ceux auxquels je dois la réparation d’un dommage, grand ou petit, me pardonnent.
Je veux être enterré conformément au rite de la religion Catholique, Apostolique et Romaine, que je pratique, en terre bénite et sous la protection de la Croix. »
📜 Testament, 18 novembre 1936.
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Forwarded from MEMORIA NATIO
« Nous sommes anticapitalistes et antimarxistes avant tout parce que nous ne comprenons pas cet "homme économique" qui n’existe pas. L’homme est un corps, mais aussi une âme, et s’il est vrai que l’homme est l’élément principal de l’économie, il faut le considérer dans son aspect spirituel plus que matériel. »
🗣️ José Antonio Primo de Rivera.
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🗣️ José Antonio Primo de Rivera.
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Forwarded from Le Cercle d'Ulfric
Ne regrettez pas cette époque, c’est unique ce que nous vivons, c’est très rare.
Les fins de cycle comme ça, où absolument tout est remis en question, où le sens véritable de la vie se perd, où plus rien ne semble avoir de sens, c'est une opportunité incroyable pour s’élever par soi-même.
Faites-en l’expérience, et ne vous laissez pas entraîner par des discours dépressifs.
Faites usage de ce que vous savez, entreprenez des projets, vivez la vie pleinement. Soyez dans le mouvement et l’action.
Rappelez-vous que vous n’êtes pas sur cette Terre par hasard, et affrontez vos propres démons.
La vie ne vous reprochera jamais d’avoir traversé des vallées et des montagnes si c’est pour vous rapprocher de vous-même.
Les fins de cycle comme ça, où absolument tout est remis en question, où le sens véritable de la vie se perd, où plus rien ne semble avoir de sens, c'est une opportunité incroyable pour s’élever par soi-même.
Faites-en l’expérience, et ne vous laissez pas entraîner par des discours dépressifs.
Faites usage de ce que vous savez, entreprenez des projets, vivez la vie pleinement. Soyez dans le mouvement et l’action.
Rappelez-vous que vous n’êtes pas sur cette Terre par hasard, et affrontez vos propres démons.
La vie ne vous reprochera jamais d’avoir traversé des vallées et des montagnes si c’est pour vous rapprocher de vous-même.
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