Forwarded from Le Vieux Grimoire (Louis)
"Je rends hommage Ă ceux qui parlent au vent, les fous d'amour, les visionnaires, Ă ceux qui donneraient vie Ă un rĂȘve. Aux rejetĂ©s, aux exclus. Aux hommes de cĆur, Ă ceux qui persistent Ă croire aux sentiments purs. A ceux qui sont ridiculisĂ©s et jugĂ©s. A ceux qui nâont pas peur de dire ce quâils pensent et qui n'abandonnent jamais."
- Cervantes.
- Cervantes.
â€14
This media is not supported in your browser
VIEW IN TELEGRAM
Thomas Gould - Parlementaire irlandais
This media is not supported in your browser
VIEW IN TELEGRAM
La députée Rachel Keke brandit le drapeau palestinien à l'AN
Pour ceux qui s'interessent a la politique, la il y aura des gens qui cherchent un futur collectif enviable Ă ce niveau
https://www.institutschiller.org/15-et-16-juin-visioconference-internationale
https://www.institutschiller.org/15-et-16-juin-visioconference-internationale
Institut Schiller
15 et 16 juin, visioconfĂ©rence internationale â Institut Schiller
Invitation Ă la visioconfĂ©rence internationale des 15 et 16 juin Ă 14h00. Formulaire d'inscription en fin de page. Le temps est Ă la tempĂȘte ! La tentative de l'Occident collectif d'imposer laâŠ
Forwarded from Cheminade et Solidarité & ProgrÚs
Juin 1964, le Général de Gaulle refuse de participer aux commémorations du débarquement de 1944 : « La France a été traitée comme un paillasson. [...] Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! »
En octobre 1963, il explique son choix Ă Peyrefitte qui l'interroge : « Eh bien, non ! Ma dĂ©cision est prise ! La France a Ă©tĂ© traitĂ©e comme un paillasson ! Churchill m'a convoquĂ© d'Alger Ă Londres, le 4 juin. Il m'a fait venir dans un train oĂč il avait Ă©tabli son quartier gĂ©nĂ©ral, comme un chĂątelain sonne son maĂźtre d'hĂŽtel. Et il m'a annoncĂ© le dĂ©barquement, sans qu'aucune unitĂ© française ait Ă©tĂ© prĂ©vue pour y participer. Nous nous sommes affrontĂ©s rudement. Je lui ai reprochĂ© de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volontĂ© europĂ©enne (il appuie). Il m'a criĂ© de toute la force de ses poumons : "De Gaulle, dites-vous bien que quand j'aurai Ă choisir entre vous et Roosevelt, je prĂ©fĂ©rerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons Ă choisir entre les Français et les AmĂ©ricains, nous prĂ©fĂ©rerons toujours les AmĂ©ricains ! Quand nous aurons Ă choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large !" (Il me l'a dĂ©jĂ dit. Ce souvenir est indĂ©lĂ©bile.)
Le dĂ©barquement du 6 juin, ç'a Ă©tĂ© l'affaire des Anglo-Saxons, d'oĂč la France a Ă©tĂ© exclue. Ils Ă©taient bien dĂ©cidĂ©s Ă s'installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s'apprĂȘtaient Ă le faire en Allemagne ! Ils avaient prĂ©parĂ© leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France Ă mesure de l'avance de leurs armĂ©es. Ils avaient imprimĂ© leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcĂ©. Ils se seraient conduits en pays conquis.
C'est exactement ce qui se serait passé si je n'avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous- préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement, alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n'est pas là !
Et puis, ça contribuerait Ă faire croire que, si nous avons Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s, nous ne le devons qu'aux AmĂ©ricains. Ăa reviendrait Ă tenir la RĂ©sistance pour nulle et non avenue. Notre dĂ©faitisme naturel n'a que trop tendance Ă adopter ces vues. Il ne faut pas y cĂ©der !
En revanche, ma place sera au mont Faron le 15 aoĂ»t, puisque les troupes françaises ont Ă©tĂ© prĂ©pondĂ©rantes dans le dĂ©barquement en Provence, que notre 1re ArmĂ©e y a Ă©tĂ© associĂ©e dĂšs la premiĂšre minute, que sa remontĂ©e fulgurante par la vallĂ©e du RhĂŽne a obligĂ© les Allemands Ă Ă©vacuer tout le Midi et tout le Massif central sous la pression de la RĂ©sistance. Et je commĂ©morerai la libĂ©ration de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur s'y sont unis, autour de leur drapeau, de leur hymne, de leur patrie ! Mais m'associer Ă la commĂ©moration d'un jour oĂč l'on demandait aux Français de s'abandonner Ă d'autres qu'Ă eux-mĂȘmes, non !
Les Français sont dĂ©jĂ trop portĂ©s Ă croire qu'ils peuvent dormir tranquilles, qu'ils n'ont qu'Ă s'en remettre Ă d'autres du soin de dĂ©fendre leur indĂ©pendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naĂŻve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager Ă compter sur eux-mĂȘmes ! Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mĂ©moire que ça ! Il faut commĂ©morer la France, et non les Anglo-Saxons ! Je n'ai aucune raison de cĂ©lĂ©brer ça avec Ă©clat. Dites-le Ă vos journalistes.
Ceux qui ont donné leur vie à leur patrie sur notre terre, les Anglais, les Canadiens, les Américains, les Polonais, Sainteny et Triboulet seront là pour les honorer dignement. »
đ Rejoignez le fil de S&P et Jacques Cheminade
https://t.me/Cheminade_SetP
En octobre 1963, il explique son choix Ă Peyrefitte qui l'interroge : « Eh bien, non ! Ma dĂ©cision est prise ! La France a Ă©tĂ© traitĂ©e comme un paillasson ! Churchill m'a convoquĂ© d'Alger Ă Londres, le 4 juin. Il m'a fait venir dans un train oĂč il avait Ă©tabli son quartier gĂ©nĂ©ral, comme un chĂątelain sonne son maĂźtre d'hĂŽtel. Et il m'a annoncĂ© le dĂ©barquement, sans qu'aucune unitĂ© française ait Ă©tĂ© prĂ©vue pour y participer. Nous nous sommes affrontĂ©s rudement. Je lui ai reprochĂ© de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volontĂ© europĂ©enne (il appuie). Il m'a criĂ© de toute la force de ses poumons : "De Gaulle, dites-vous bien que quand j'aurai Ă choisir entre vous et Roosevelt, je prĂ©fĂ©rerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons Ă choisir entre les Français et les AmĂ©ricains, nous prĂ©fĂ©rerons toujours les AmĂ©ricains ! Quand nous aurons Ă choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large !" (Il me l'a dĂ©jĂ dit. Ce souvenir est indĂ©lĂ©bile.)
Le dĂ©barquement du 6 juin, ç'a Ă©tĂ© l'affaire des Anglo-Saxons, d'oĂč la France a Ă©tĂ© exclue. Ils Ă©taient bien dĂ©cidĂ©s Ă s'installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s'apprĂȘtaient Ă le faire en Allemagne ! Ils avaient prĂ©parĂ© leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France Ă mesure de l'avance de leurs armĂ©es. Ils avaient imprimĂ© leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcĂ©. Ils se seraient conduits en pays conquis.
C'est exactement ce qui se serait passé si je n'avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous- préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement, alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n'est pas là !
Et puis, ça contribuerait Ă faire croire que, si nous avons Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s, nous ne le devons qu'aux AmĂ©ricains. Ăa reviendrait Ă tenir la RĂ©sistance pour nulle et non avenue. Notre dĂ©faitisme naturel n'a que trop tendance Ă adopter ces vues. Il ne faut pas y cĂ©der !
En revanche, ma place sera au mont Faron le 15 aoĂ»t, puisque les troupes françaises ont Ă©tĂ© prĂ©pondĂ©rantes dans le dĂ©barquement en Provence, que notre 1re ArmĂ©e y a Ă©tĂ© associĂ©e dĂšs la premiĂšre minute, que sa remontĂ©e fulgurante par la vallĂ©e du RhĂŽne a obligĂ© les Allemands Ă Ă©vacuer tout le Midi et tout le Massif central sous la pression de la RĂ©sistance. Et je commĂ©morerai la libĂ©ration de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur s'y sont unis, autour de leur drapeau, de leur hymne, de leur patrie ! Mais m'associer Ă la commĂ©moration d'un jour oĂč l'on demandait aux Français de s'abandonner Ă d'autres qu'Ă eux-mĂȘmes, non !
Les Français sont dĂ©jĂ trop portĂ©s Ă croire qu'ils peuvent dormir tranquilles, qu'ils n'ont qu'Ă s'en remettre Ă d'autres du soin de dĂ©fendre leur indĂ©pendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naĂŻve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager Ă compter sur eux-mĂȘmes ! Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mĂ©moire que ça ! Il faut commĂ©morer la France, et non les Anglo-Saxons ! Je n'ai aucune raison de cĂ©lĂ©brer ça avec Ă©clat. Dites-le Ă vos journalistes.
Ceux qui ont donné leur vie à leur patrie sur notre terre, les Anglais, les Canadiens, les Américains, les Polonais, Sainteny et Triboulet seront là pour les honorer dignement. »
đ Rejoignez le fil de S&P et Jacques Cheminade
https://t.me/Cheminade_SetP
đ2â€1
Forwarded from FLASH INFO
This media is not supported in your browser
VIEW IN TELEGRAM
Marcel : Voici Aude Luquet, députée Modem.
DĂ©cidĂ©ment la macronie, câest la classeâŠ
SATOSHI NAKAMOTO : @AudeLuquet77 Bravo, casser les phares Ă deux jeunes qui vous ont parlĂ© gentiment, et aprĂšs mentir en disant que c'Ă©tait dĂ©jĂ comme ça, ensuite appeler la police, profiter de votre statut de dĂ©putĂ©e pour mentir Ă la police et faire accuser ces gens. đđđ
đ
>> AH2020 FLASH INFO
>> AH2020 GROUPE OFFICIEL
DĂ©cidĂ©ment la macronie, câest la classeâŠ
SATOSHI NAKAMOTO : @AudeLuquet77 Bravo, casser les phares Ă deux jeunes qui vous ont parlĂ© gentiment, et aprĂšs mentir en disant que c'Ă©tait dĂ©jĂ comme ça, ensuite appeler la police, profiter de votre statut de dĂ©putĂ©e pour mentir Ă la police et faire accuser ces gens. đđđ
đ
>> AH2020 FLASH INFO
>> AH2020 GROUPE OFFICIEL
đ3â€1đ1
Forwarded from Le Vieux Grimoire (Louis)
YouTube
"La guerre en UKRAINE illustre l'INCOMPĂTENCE de l'OCCIDENT" l Jacques Cheminade
Extrait de notre entretien avec l'homme politique et essayiste Jacques Cheminade, dans lequel il dĂ©nonce l'hypocrisie de l'Union europĂ©enne et des Ătats-Unis dans le cadre de la guerre en Ukraine.
Visionner notre entretien complet avec Jacques CheminadeâŠ
Visionner notre entretien complet avec Jacques CheminadeâŠ
https://x.com/TorahJudaism/status/1798715723193409750
Traduction:
"Les Juifs europĂ©ens nâont pas acceptĂ© les projets des sionistes dâĂ©tablir un Ătat en Terre Sainte. Les juifs religieux se sont opposĂ©s au sionisme parce quâils Ă©taient en exil divin.
Sur ce, les sionistes ont affirmĂ© que les juifs religieux sâĂ©taient assimilĂ©s (aux EuropĂ©ens) et avaient une mentalitĂ© malade et mauvaise, et que ces juifs avaient besoin dâĂȘtre soignĂ©s, câest pourquoi ils ont coopĂ©rĂ© avec les nazis.
Ce que les sionistes appelaient traitement était le plan de génocide des nazis.
Les sionistes ont secrĂštement financĂ© les nazis qui Ă©taient au pouvoir en Allemagne, parce que les nazis Ă©taient contre lâassimilation des Juifs et quâils devaient ĂȘtre dĂ©noncĂ©s le plus tĂŽt possible.
Cela convenait aussi bien aux sionistes quâaux nazis.
Lorsque les nazis ont commencĂ© Ă chasser les Juifs europĂ©ens, les sionistes sont restĂ©s silencieux parce que les Juifs religieux allaient payer le prix de leur opposition au sionisme et Ă lâĂtat dâIsraĂ«l.
De cette maniÚre, selon les sionistes, un processus de réhabilitation aurait lieu et les juifs orthodoxes "malades" verraient la vérité et accepteraient le plan palestinien.
Ainsi, les sionistes ne sont pas intervenus auprĂšs des nazis en raison de leur rĂȘve dâĂ©tablir un Ătat, et les nazis en ont fait une opportunitĂ©. Des millions de Juifs furent exterminĂ©s dans les camps de la mort.
Ceux qui ont le plus profité de ces morts sont les sionistes.
Les sionistes ont créé un Ătat utilisant les victimes de lâHolocauste. Cet Ătat Ă©tabli a Ă©tĂ© fondĂ© sur les plans sales des sionistes et sur le sang des Juifs."
Traduction:
"Les Juifs europĂ©ens nâont pas acceptĂ© les projets des sionistes dâĂ©tablir un Ătat en Terre Sainte. Les juifs religieux se sont opposĂ©s au sionisme parce quâils Ă©taient en exil divin.
Sur ce, les sionistes ont affirmĂ© que les juifs religieux sâĂ©taient assimilĂ©s (aux EuropĂ©ens) et avaient une mentalitĂ© malade et mauvaise, et que ces juifs avaient besoin dâĂȘtre soignĂ©s, câest pourquoi ils ont coopĂ©rĂ© avec les nazis.
Ce que les sionistes appelaient traitement était le plan de génocide des nazis.
Les sionistes ont secrĂštement financĂ© les nazis qui Ă©taient au pouvoir en Allemagne, parce que les nazis Ă©taient contre lâassimilation des Juifs et quâils devaient ĂȘtre dĂ©noncĂ©s le plus tĂŽt possible.
Cela convenait aussi bien aux sionistes quâaux nazis.
Lorsque les nazis ont commencĂ© Ă chasser les Juifs europĂ©ens, les sionistes sont restĂ©s silencieux parce que les Juifs religieux allaient payer le prix de leur opposition au sionisme et Ă lâĂtat dâIsraĂ«l.
De cette maniÚre, selon les sionistes, un processus de réhabilitation aurait lieu et les juifs orthodoxes "malades" verraient la vérité et accepteraient le plan palestinien.
Ainsi, les sionistes ne sont pas intervenus auprĂšs des nazis en raison de leur rĂȘve dâĂ©tablir un Ătat, et les nazis en ont fait une opportunitĂ©. Des millions de Juifs furent exterminĂ©s dans les camps de la mort.
Ceux qui ont le plus profité de ces morts sont les sionistes.
Les sionistes ont créé un Ătat utilisant les victimes de lâHolocauste. Cet Ătat Ă©tabli a Ă©tĂ© fondĂ© sur les plans sales des sionistes et sur le sang des Juifs."
đ5â€1đŻ1
Forwarded from Le Vieux Grimoire (Louis)
Quand les Gafam te rappellent d'aller veauter..