Marion Maréchal
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Présidente Identité-Libertés www.identite-libertes.fr | Député français ECR au Parlement européen | Vice-présidente du parti européen ECR | Co-fondatrice de l’ISSEP
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Au Kibboutz Beeri, nous avons écouté avec émotion le témoignage d’une survivante de l’attaque jihadiste du 7 octobre.
Le village a été l’un des plus meurtris : 96 tués et 26 otages.

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Le 7 octobre a clarifié beaucoup de choses. Il y a ceux qui étaient à la marche contre l’antisémitisme. Il y a ceux qui n’y étaient pas, comme LFI et Emmanuel Macron.

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« En France et en Europe, les propagandistes des Frères musulmans répandent leur idéologie et la haine des chrétiens et des juifs, dans la masse des populations immigrées venues de pays islamiques.

L’universitaire française Florence Bergeaud-Blackler considère même que leur pénétration est peut-être encore plus forte chez nous que dans certains pays musulmans !

Allant dans le même sens, le patron du renseignement territorial français Bertrand Chamoulaud alertait il y a trois mois : « Ceux qui nous inquiètent le plus sont les Frères musulmans, leur entrisme est partout. »

Il y a bien sûr les centres islamiques (qui sont davantage que de simples mosquées), mais aussi des médias, des relais et des associations dans absolument tous les domaines.

Ces dernières semaines, par exemple, le débat public français a été occupé par l’entrisme islamiste dans les associations sportives, avec l’explosion du port du Hijab.

En décembre 2023, 45% des Français musulmans voyaient dans l’attaque du 7 octobre un acte de « résistance contre la colonisation » (enquête Ifop).

Pour moi, le premier défi est donc démographique. Parce que l’immigration sert de base arrière de recrutement pour les islamistes. Et parce que le nombre fait la loi. »

Extrait de mon intervention sur les Frères musulmans, lors de la table ronde à laquelle je participais à la Conférence internationale sur la lutte contre l'antisémitisme.

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« Je leur donnerai un nom pour toujours » : à Yad Vashem repose la mémoire des victimes de la Shoah, l’atroce martyr du peuple juif.

Au pied de son arbre dans le jardin des Justes parmi les nations, j’ai tenu à rendre hommage à Rolande Birgy, militante du FN. Surnommée « Béret bleu » dans la Résistance, elle a aidé des centaines d’enfants et de familles juives à fuir vers la Suisse.

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📺 Je vous donne rendez-vous à 18h30 sur CNEWS en duplex depuis Jérusalem. A tout à l’heure !
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J’ai vu le terrible documentaire sur les attaques islamistes du Hamas le 7 octobre. J’ai été particulièrement choquée par la scène où le père d’un jihadiste dit au téléphone à son fils « tue, tue, tue mon fils ! ». C’est insoutenable.

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Cette invitation en Israël est un aboutissement logique. La liste que j’ai conduite aux élections européennes a rassemblé 42% des suffrages ici.

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Je me suis rendue à Yad Vashem, l’emouvant mémorial des victimes de la Shoah.

J’ai rendu hommage à Rolande Birgy, militante FN et Juste parmi les nations qui a sauvé beaucoup de familles juives lors de la Seconde Guerre mondiale.

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J’ai échangé avec des Franco-Israéliens qui ont fait leur Alya. Ils m’ont expliqué avoir quitté la France car ils avaient peur pour leur sécurité et celle de leurs enfants.

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🇲🇲 🇹🇭 La Birmanie et la Thaïlande ont été touchées par un terrible séisme. Toutes mes pensées et prières accompagnent les habitants et les nombreux Français expatriés dans ces magnifiques pays.

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Le Saint-Sépulcre est à la fois le tombeau du Christ et l’un des berceaux de notre civilisation.

Mon émotion est immense en découvrant ce lieu sacré, au cœur de Jérusalem.

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L’on ne revient pas indemne de Jérusalem. Tant d’Histoire sur si peu de mètres carrés donne le vertige. Tout au long de ma visite, je me suis sentie comme privilégiée. Le privilège de me trouver là où s’est produit le plus extraordinaire évènement de l’humanité : la venue du Messie. J’ai peu parlé, de peur que la distraction des mots me prive de la pleine conscience de chaque regard que je pouvais poser ou émotion que je pouvais ressentir. J’ai pris soin de chaque moment comme l’on prend soin d’un objet précieux pour être sûr de l’emporter intact avec soi.
 
En déambulant dans les ruelles étroites et effervescentes, moi la Française, à peine arrivée, eus la surprise de me sentir un peu chez moi. À Jérusalem, chaque image de l’univers biblique qui a façonné notre monde chrétien prend soudainement vie. Les senteurs, les lumières, les couleurs, les bruits, pourtant si éloignés de nos coutumes et paysages européens, semblent curieusement familiers.
La musique sonore de l’arabe se mêle à celle de l’hébreu et l’on rencontre parfois quelques mots français dans la bouche des moines franciscains, comme le legs timide et presque effacé de ce que fut la France autrefois pour la chrétienté.
 
On y croise les vestiges de nos ancêtres, les croisés, qui ont marqué dans la pierre l’éternité de leur foi et de leur courage. Cette terre sableuse a bu les litres de sang de ceux, bien souvent Français, qui sont morts dans l’espérance de voir Jérusalem libérée du joug musulman.
Parfois les yeux s’attardent sur un détail et l’on devine un pélican gravé dans la roche, symbole ancestral de l’amour du Christ depuis Saint Augustin.
Au détour d’une maison, émergent des tréfonds de l’histoire des colonnes romaines, souvenir d’un passage dont la beauté des œuvres monumentales le dispute à la violence de la destruction du second temple de Jérusalem.
 
Au milieu d’un énorme bazar de travaux et d’objets entassés, apparaît le Saint Sépulcre. Nous sommes presque seuls. La guerre et le risque d’attentats ont découragé l’habituelle horde de touristes et de croyants qui emplit les lieux. Cette solitude amplifie encore la solennité de l’instant. Il me faut imaginer qu’à l’époque il n’y a pas d’église, mais un vaste terrain quasiment vierge.
En entrant, je vois des femmes à genoux embrasser la pierre où fut lavé le corps de Jésus et y apposer leur front. Leur façon de retenir la présence de Dieu. Moi-même, je suis bouleversée. Le récit des Évangiles me saute à l’esprit et j’imagine devant moi le corps de cet homme qui est aussi mon Dieu. Je le vois transporté quelques mètres plus loin dans son tombeau où j’apposerai mes mains et je gravirai les marches qui me séparent du mont Golgotha où il fut crucifié. Je m’agenouillerai, parce qu’il est difficile de rester debout devant la cavité rocheuse où la croix de son martyre fut dressée, et je prierai, mêlant ma voix implorante aux millions d’autres qui ont murmuré avant moi en ces lieux. Je n’ai pas les mots pour expliquer cette joie que procure l’humilité devant la grandeur.
 
Je marcherai ensuite dans ses pas sur le chemin de Croix. Au milieu des interpellations joyeuses des marchands, l’on suit ce chemin de souffrance et de rédemption où sont marqués au mur les différents points de chute de Jésus. On s’y arrête, on imagine les yeux fermés, et l’on aurait aimé alors être Simonde Cyrène l’aidant à porter le fardeau de sa croix, ou Sainte Véronique venue essuyer son front pour soulager un peu de sa souffrance, en dépit de la brutalité des soldats et de la haine de la foule. Puis, l’on ouvre les yeux et l’on se sent soudainement triste, accablé par la médiocrité de nos péchés et la vacuité de nos existences.
 
Il se dit que sous la charge insoutenable de sa croix, Jésus posa sa main sur le mur d’une des maisons pour reprendre un peu de force. À cet endroit, la pierre y est creusée par le contact des millions de mains de pèlerins venus toucher la promesse divine. Si l’espérance devait avoir une forme, elle aurait celle-ci.
 
Partout, les prières se mêlent aux armes.