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Depuis 2012 et mon entrée en politique, je défends une grande coalition des droites dans l’objectif de gagner.
C’est un combat permanent, je n’ai jamais changé de convictions et j’ai toujours été cohérente avec cette stratégie dans mes choix.
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C’est un combat permanent, je n’ai jamais changé de convictions et j’ai toujours été cohérente avec cette stratégie dans mes choix.
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Les “valeurs de gauche” défendues par Matthieu Pigasse, président des Eurockéennes de Belfort.
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Très heureuse de retrouver en Haute-Savoie les 50 participants, venus de 23 pays, de l’université d’été des jeunes conservateurs européens, organisée par la fondation d’ECR, New Direction, en partenariat avec l’ISSEP.
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En refusant d’accorder sa grâce à Boualem Sansal, dont le seul tort est d’avoir exprimé librement ses idées dans un pays où la pensée indépendante est criminalisée, le président algérien Tebboune a planté le dernier clou dans le cercueil de la relation avec la France.
Cette décision est un affront.
Un affront à la liberté d’expression.
Un affront à la culture francophone.
Un affront à la France, qui avait officiellement demandé un geste humanitaire.
Mais plus grave encore, c’est la passivité de nos autorités qui choque. Une fois de plus, la diplomatie française s’est agenouillée, quémandant la pitié, sans oser hausser le ton face à un régime autoritaire qui méprise nos valeurs et nos appels.
Devenu otage de la rente mémorielle à Alger, lâchement abandonné par Paris, Boualem Sansal incarne aujourd’hui le courage, la dignité, la fidélité aux idéaux de liberté que la France devrait défendre.
En politique intérieure comme en diplomatie, il est temps que notre pays cesse de se coucher devant ceux qui l’humilient.
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Cette décision est un affront.
Un affront à la liberté d’expression.
Un affront à la culture francophone.
Un affront à la France, qui avait officiellement demandé un geste humanitaire.
Mais plus grave encore, c’est la passivité de nos autorités qui choque. Une fois de plus, la diplomatie française s’est agenouillée, quémandant la pitié, sans oser hausser le ton face à un régime autoritaire qui méprise nos valeurs et nos appels.
Devenu otage de la rente mémorielle à Alger, lâchement abandonné par Paris, Boualem Sansal incarne aujourd’hui le courage, la dignité, la fidélité aux idéaux de liberté que la France devrait défendre.
En politique intérieure comme en diplomatie, il est temps que notre pays cesse de se coucher devant ceux qui l’humilient.
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🎓 Aujourd’hui s’achève l’Université d’été “Les racines du conservatisme européen”, organisée en Haute‑Savoie par la Fondation New Direction en partenariat avec l’ISSEP.
Pendant cinq jours, une cinquantaine de jeunes venus de toute l’Europe ont pris part à une immersion intellectuelle et humaine, autour des fondements philosophiques, historiques, culturels et politiques du conservatisme.
C’est dans un cadre exceptionnel, au cœur des Alpes françaises, qu’étudiants, jeunes professionnels et intervenants prestigieux se sont réunis pour échanger, débattre et transmettre. L’université s’est ouverte par une présentation historique du lieu, évoquant notamment la figure de saint François de Sales, symbole d’enracinement et de rigueur spirituelle, et Camillo Cavour, artisan de l’unité italienne.
Au fil de la semaine, les participants ont assisté à des conférences et tables rondes animées par des personnalités issues du monde académique, politique et intellectuel :
• Ferenc Hörcher, philosophe hongrois, spécialiste de la pensée conservatrice,
• Hannes Gissurarson, professeur islandais, théoricien du libéralisme conservateur,
• Stephen Bartulica, député européen croate, engagé dans la défense des valeurs traditionnelles,
• Jean-Luc Coronel de Boissezon, professeur agrégé des universités, docteur en histoire du droit à l’Issep.
• Miguel Angel Quintana Paz, philosophe espagnol, défenseur de la souveraineté culturelle, directeur académique de l’Issep Madrid
• James Orr, professeur à Cambridge, spécialiste de la philosophie de la religion,
• Robert Tyler, conseiller politique à New Direction,
• Arvid Hallen, directeur de la fondation Oikos en Norvège.
Chaque table ronde a permis d’explorer une facette des racines du conservatisme : son ancrage culturel et religieux, son lien avec l’identité nationale, son avenir dans une Europe en crise morale et politique.
Une place importante a également été donnée aux institutions européennes, grâce à une intervention de Bastien Frimas, fonctionnaire au Parlement européen, qui a offert un regard éclairant sur les mécanismes internes de l’Union.
Des ateliers pratiques ont complété ce programme théorique, avec des échanges sur l’élaboration des lois européennes ou sur les grands défis idéologiques contemporains.
Des visites culturelles ont permis de découvrir Annecy et le plateau des Glières, haut-lieu de la Résistance, lors d’une randonnée, ancrant encore davantage la formation dans une histoire concrète et incarnée.
J’ai eu l’honneur de conclure cet événement par une intervention soulignant l’importance de la transmission des idées et de l’engagement à long terme pour redonner une colonne vertébrale intellectuelle au camp conservateur européen.
Cette Université d’été fut à la fois un moment d’étude, de camaraderie, et d’espérance. Elle témoigne de la vitalité d’une nouvelle génération de jeunes conservateurs européens, désireux de renouer avec leurs racines et de préparer l’avenir avec exigence, fierté et détermination.
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🔹 Qu’est-ce que la Fondation New Direction ?
New Direction est une fondation politique européenne, créée en 2010 à l’initiative du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR) et placée à l’origine sous le haut patronage de Margaret Thatcher. Elle a pour objectif de promouvoir une pensée conservatrice fondée sur l’État-nation, la libre entreprise, la souveraineté des peuples, la responsabilité individuelle et la transmission culturelle. Elle organise des publications, des conférences, des universités d’été et des activités de formation à travers toute l’Europe.
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🔹 Qu’est-ce que l’ISSEP ?
L’Institut de sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP) est un établissement supérieur privé situé à Lyon, que j’ai co-fondé en 2018 avec le député Thibaut Monnier. Il propose des formations intellectuelles et professionnelles à destination de ceux qui souhaitent agir dans la cité, dans les domaines politique, économique, médiatique ou associatif.
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Pendant cinq jours, une cinquantaine de jeunes venus de toute l’Europe ont pris part à une immersion intellectuelle et humaine, autour des fondements philosophiques, historiques, culturels et politiques du conservatisme.
C’est dans un cadre exceptionnel, au cœur des Alpes françaises, qu’étudiants, jeunes professionnels et intervenants prestigieux se sont réunis pour échanger, débattre et transmettre. L’université s’est ouverte par une présentation historique du lieu, évoquant notamment la figure de saint François de Sales, symbole d’enracinement et de rigueur spirituelle, et Camillo Cavour, artisan de l’unité italienne.
Au fil de la semaine, les participants ont assisté à des conférences et tables rondes animées par des personnalités issues du monde académique, politique et intellectuel :
• Ferenc Hörcher, philosophe hongrois, spécialiste de la pensée conservatrice,
• Hannes Gissurarson, professeur islandais, théoricien du libéralisme conservateur,
• Stephen Bartulica, député européen croate, engagé dans la défense des valeurs traditionnelles,
• Jean-Luc Coronel de Boissezon, professeur agrégé des universités, docteur en histoire du droit à l’Issep.
• Miguel Angel Quintana Paz, philosophe espagnol, défenseur de la souveraineté culturelle, directeur académique de l’Issep Madrid
• James Orr, professeur à Cambridge, spécialiste de la philosophie de la religion,
• Robert Tyler, conseiller politique à New Direction,
• Arvid Hallen, directeur de la fondation Oikos en Norvège.
Chaque table ronde a permis d’explorer une facette des racines du conservatisme : son ancrage culturel et religieux, son lien avec l’identité nationale, son avenir dans une Europe en crise morale et politique.
Une place importante a également été donnée aux institutions européennes, grâce à une intervention de Bastien Frimas, fonctionnaire au Parlement européen, qui a offert un regard éclairant sur les mécanismes internes de l’Union.
Des ateliers pratiques ont complété ce programme théorique, avec des échanges sur l’élaboration des lois européennes ou sur les grands défis idéologiques contemporains.
Des visites culturelles ont permis de découvrir Annecy et le plateau des Glières, haut-lieu de la Résistance, lors d’une randonnée, ancrant encore davantage la formation dans une histoire concrète et incarnée.
J’ai eu l’honneur de conclure cet événement par une intervention soulignant l’importance de la transmission des idées et de l’engagement à long terme pour redonner une colonne vertébrale intellectuelle au camp conservateur européen.
Cette Université d’été fut à la fois un moment d’étude, de camaraderie, et d’espérance. Elle témoigne de la vitalité d’une nouvelle génération de jeunes conservateurs européens, désireux de renouer avec leurs racines et de préparer l’avenir avec exigence, fierté et détermination.
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🔹 Qu’est-ce que la Fondation New Direction ?
New Direction est une fondation politique européenne, créée en 2010 à l’initiative du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR) et placée à l’origine sous le haut patronage de Margaret Thatcher. Elle a pour objectif de promouvoir une pensée conservatrice fondée sur l’État-nation, la libre entreprise, la souveraineté des peuples, la responsabilité individuelle et la transmission culturelle. Elle organise des publications, des conférences, des universités d’été et des activités de formation à travers toute l’Europe.
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🔹 Qu’est-ce que l’ISSEP ?
L’Institut de sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP) est un établissement supérieur privé situé à Lyon, que j’ai co-fondé en 2018 avec le député Thibaut Monnier. Il propose des formations intellectuelles et professionnelles à destination de ceux qui souhaitent agir dans la cité, dans les domaines politique, économique, médiatique ou associatif.
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